Dans la grande comédie aérienne de 2025, un nouvel acte se joue entre Abidjan et Paris. D’un côté, Air Côte d’Ivoire, jeune compagnie pleine d’ambition, décide enfin de s’envoler vers la Ville Lumière. De l’autre, Air France, vieille aristocrate des airs, fronçant le nez comme si un voisin de classe économique venait s’asseoir dans son salon VIP.
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Les négociations entre les deux capitales ressemblent à un sketch diplomatique. Paris parle de « coordination technique », Abidjan répond « souveraineté aérienne ». Et pendant que les technocrates comptent les fréquences de vol comme des jetons de casino, les passagers, eux, comptent les jours sans billet abordable.
Selon la vidéo largement relayée en ligne, le ton est monté : un ministre ivoirien, sourire en coin, aurait lancé que « le ciel ivoirien n’est pas une colonie de transit ». Silence gêné côté français, turbulence verbale côté ivoirien.
Résultat, chacun garde son plan de vol et son ego à bord. Dans ce duel entre Airbus et fierté nationale, l’Afrique de l’Ouest applaudit debout, enfin un pays qui fait atterrir les symboles avant les avions.
Wilfrid K./La rédaction
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